Les formations présentielles

En tant que formation présentielle, le formateur et les personnes à former sont présents dans la même pièce. Ce premier type de formation est le plus simple d’entre tous car il est équivalent à de véritables heures de cours. C’est plus facile de guider les personnes en temps réel. Généralement, les formations ont lieu dans des salles presque identiques à des salles de classe ou des salles de réunion.

Les formations distancielles

Les formations distancielles sont des formations à distance, le plus commun est de les faire en ligne. Ces formations se font souvent par le biais des réseaux sociaux pour que formateur et élèves soient synchronisés en temps réel. Il y a des formations distancielles plus autonomes à travers des vidéos et des exercices interactifs envoyés sous forme de fichiers. Les objectifs des formations distancielles sont exactement les mêmes que ceux du premier type : accompagner et instruire.

Les formations hybrides

Les formations hybrides mélangent les deux premiers types de formation. Il y a une partie de la formation qui se fait en présentielle et une autre partie qui se fait à distance. Le taux de chacun des types de formations est très variable, cela dépend de l’organisation de chaque formateur et des sujets de formations. L’avantage des formations hybrides est l’assurance d’avoir un bon accompagnement lors des formations présentielles mais aussi la concentration et l’aide nécessaire au cours des formations distancielles.
Pour quels types de formation optez-vous ?

Le PACES

La première année appelée PACES (Première Année Commune aux Études de Santé) est le premier cap à franchir. Cette première année est commune pour tous les étudiants qui souhaitent travailler dans le milieu de la santé. Et pourtant, seulement 30 % des candidats aux PACES sont admis en deuxième année chaque année. Seuls certains excellents élèves seront admis d’office, à condition que leurs résultats soient supérieurs à un seuil défini. Les étudiants qui échouent à ce concours peuvent redoubler leurs années, mais jamais de tripler.

Deuxième et troisième année

En deuxième et troisième année, les étudiants apprennent les bases du domaine médical. Ils allient les cours magistraux, les stages et les travaux pratiques. À la fin de la troisième année, les étudiants sont sanctionnés d’un Diplôme de Formation Générale en Sciences Médicales nommées DFGSM. Ce diplôme est un diplôme de niveau licence (bac +3) et est reconnu par l’État.

L’externat

L’externat à une durée de trois ans après la licence. Pendant ces années, les étudiants approfondissent les pathologies et la prévention. Ils passent de plus en plus de temps à faire des formations pratiques et cliniques en stage. Mais les cours théoriques s’intensifient également. Les stages durant ces trois années doivent se faire à l’hôpital à mi-temps. Une faible rémunération est perçue par les étudiants durant l’externat. Et à la fin de la sixième année, ils obtiennent le Diplôme de Formation Approfondie en Sciences Médicales ou le DFASM. Ce diplôme est également reconnu par l’État, et correspond au niveau de master (bac +5).

L’internat

La durée de l’internat varie entre trois et cinq ans. Pour les étudiants qui veulent devenir médecins généralistes, leur internat s’arrête en neuvième année. Et pour ceux qui souhaitent se spécialiser, ils continuent jusqu’en onzième année. Les internes passent tout leur temps en stage à l’hôpital, tout en suivant les enseignements théoriques. Et ils doivent également rédiger une thèse de recherche. Une fois la thèse soutenue avec succès, les étudiants obtiennent un Diplôme d’État (DE) ou un Diplôme d’État Spécialisé (DES). Et également le titre de docteur en médecine.

Pas besoin d’être un professionnel de l’éducation pour se former

Vous n’avez pas besoin d’un professionnel de l’éducation pour vous former à la Méthode Montessori. Les experts proposent des cours simples et clairs, mais complets afin de permettre aux jeunes parents de suivre aussi l’évolution de leurs enfants grâce à cette méthode. Les cours se passent en quelques semaines et uniquement en présentiel. Il est certaines techniques que vous devez voir de vos propres yeux pour pouvoir les réutiliser par la suite. À vous de vous organiser pour les suivre.

Les avantages des formations Montessori

Outre leur facilité d’accès, les formations Montessori sont complètes. Elles comptent aussi bien des cours pratiques que des explications théoriques. L’objectif étant que quand vous sortez de la formation, vous n’ayez pas simplement une tête bien pleine, mais bien faite en matière de technique Montessori.
Inutile de revenir sur les différences entre cette méthode d’apprentissage et les classiques. Depuis quelques années, le Montessori est prisé par les établissements scolaires privés français et quelques parents. Il s’agit d’une technique basée sur le sensoriel et l’indépendance des enfants, loin des simples leçons et des explications banales habituelles. On laisse les petits faire des expériences afin de mieux retenir les bases des cours. Ce qui nécessite non seulement des matériels, mais également de savoir mettre en place un environnement de travail propice à la concentration. Chose que vous proposent notamment les formations spécialisées.
À la fin des cours, vous aurez un certificat qui vous permettra de valoriser les semaines que vous avez passées et même postuler pour des postes dans des établissements scolaires spécialisés.

Les forces du système éducatif japonais

Toute la population Japonaise est capable de lire et d’écrire grâce à l’obligation de fréquentation de l’enseignement et du lycée. Et cela n’est plus anodin vue la difficulté de la langue japonaise, de ce fait, le système éducatif japonais accorde beaucoup d’importance à la langue. En réalité, la langue japonaise est composée d’un système idéogramme d’origine chinoise qui est autrement appelé les kanjis, mais aussi de deux syllabaires (les kana). Pour finir leur scolarité, tous les étudiants doivent apprendre les kanjis mais aussi maîtriser leurs caractères, alors durant leur année d’étude, les élèves japonais connaissent environ 2000 kanji et s’ils continuent leurs études, ils en apprennent plus. Aussi, contrairement aux autres pays, au Japon, l’enseignement des arts comme la musique et l’art plastique est obligatoire pendant toute la scolarité ce qui renforce la culture générale des étudiants. En réalité, la richesse culturelle des élèves japonais est encadrée par un système éducatif hyper strict. Pendant l’enseignement secondaire, la discipline est extrêmement rigoureuse et les professeurs sont vraiment exigeants, tout ça pour préparer les élèves au monde du travail.

Les faiblesses du système éducatif japonais

Même si le système éducatif japonais semble parfait, il existe quand même quelques effets néfastes sur les étudiants. En fait, ce système éducatif est surtout basé sur la mémorisation. Malheureusement, le système éducatif japonais a tendance à mémoriser sans démarche explicative. De plus, dans le système éducatif japonais, il y a un esprit de compétition excessive. Dès leur plus jeune âge, les élèves sont poussés vers l’excellence, ce qui a pour conséquence de laisser en marge les étudiants en difficulté et de favoriser les meilleurs de la classe pour la réputation de l’école.

Quel cursus comptez-vous suivre ?

C’est la partie la plus difficile, car vous devez décider de ce que vous voulez faire exactement. Un mauvais choix vous amène à changer d’avis constamment. Choisissez alors une école qui propose un cursus dans le domaine que vous souhaitez étudier. Toutefois, faites le bon choix, car les universités n’offrent pas toutes les mêmes formations. Si vous n’êtes pas vraiment sûr, optez pour une grande école avec une grande variété de bons programmes.

Pensez à votre carrière

Une fois que vous avez choisi le parcours que vous voulez suivre, placez votre choix sur une université bien connue et qui offre des programmes dans votre domaine. Vous obtiendrez alors une meilleure formation dans ce que vous voulez faire, et cela fera ainsi de vous un meilleur candidat pour les emplois futurs. Assurez-vous qu’elle soit agréée, si vous postulez dans une université privée.
Renseignez-vous aussi sur les diplômes qu’elle délivre, s’ils sont reconnus officiellement dans votre pays et à l’étranger. Pour votre avenir professionnel, un diplôme mal reconnu ne vous ouvrira pas beaucoup de portes. Vous perdez beaucoup de temps, si par malheur vous devez changer d’institution. En revanche, vous pouvez suivre un cursus parallèle, si vous en sentez capable. Cela vous permet d’avoir accès à plus de professions.

L’emplacement de l’établissement est un facteur clé

Pour vos objectifs de formation, l’emplacement de l’université est tout aussi important. Si vous désirez suivre un programme qui bénéficie d’une formation en alternance et de stages, optez pour un lieu qui vous offre une bonne expérience du monde réel. Un établissement qui se situe non loin d’une grande entreprise est idéal si vous comptez suivre des études en ingénieries.

Pensez aux frais de scolarité

Pensez à mettre en perspective le budget que vous avez à votre disposition, ainsi que la hausse des frais de scolarité. Qu’il soit par issu de votre famille, d’un prêt, d’une bourse ou encore des subventions, évitez les écoles trop chères hors de portée. Soyez réaliste et mesurez bien vos choix.
Par ailleurs, les grandes universités proposent parfois des concours. Vous pouvez alors postuler et obtenir une bourse d’études. Équilibrez également les frais de scolarité (inscription, loyers, fournitures, cours) avec vos revenus futurs. Si vous financez vos études via notamment un prêt étudiant, dans une école très chère, pensez à faire une bonne carrière pour pouvoir rembourser au plus vite.

Analyser vos compétences

Depuis votre plus jeune âge, on ne cesse d’analyser vos compétences. On vous propose divers exercices et applications et on vous évalue. En fonction de vos résultats, on vous oriente vers un domaine. Quand vous prenez de l’âge, vous commencez à vous connaître. Vous commencez à voir dans quoi vous êtes fort et faible. Vous commencez à distinguer les choses qui vous passionnent de celles qui ne vous intéressent pas.

Choisir votre domaine

Chaque étudiant possède un domaine où il est performant. Ces domaines sont assez nombreux. Il est possible que vous soyez plus à l’aise avec les chiffres. Ou bien, il se peut que vous soyez très douée pour les rédactions, la littérature, bref, les lettres. Cependant, l’art aussi est considéré comme un domaine que vous pouvez choisir. Beaucoup d’étudiants ont un véritable talent qui n’est pas forcément lié aux chiffres et aux lettres. Le dessin, le chant ou la danse sont aussi des domaines non négligeables.

Aimer votre métier

Pour pouvoir bien choisir un métier, il faut remplir certaines conditions. Vous devez exercer un métier qui vous passionne et qui vous intéresse. Inutile de vous lancer dans un domaine que vous n’appréciez pas. Vous allez vite vous lasser de ce métier et faire n’importe quoi si vous ne faites pas attention. On travaille toujours mieux en y prenant du plaisir. Cela vous motive à vous donner à 100 % tous les jours. Il y a un dicton qui dit que vous ne serez pas obligé de travailler si vous faites un métier que vous aimez.

Choisir un métier adapté à votre environnement

Vous devez connaître l’environnement dans lequel vous vivez. Sachez que votre environnement est un point essentiel dans votre choix. La rentabilité d’un travail varie selon l’environnement et le contexte. De ce fait, n’oubliez pas de prendre en compte votre milieu.

Le manque de communication

Comme vous le savez déjà, le fait de suivre des cours en présentiel permet d’échanger plus facilement avec les autres étudiants. Cela est aussi valable avec les professeurs. Par contre, vous pouvez être limité aux messages écrits, de temps en temps, en optant avec les formations en ligne. Plus précisément, les autres étudiants ne seront pas là tous les jours pour communiquer avec vous. Les professeurs peuvent aussi se contenter de vous envoyer les cours par mail et délaisser certaines explications.

L’autodiscipline

Les formations en ligne nécessitent beaucoup d’autodiscipline. Un point que de nombreux étudiants peuvent avoir du mal à respecter. Vous pouvez parfaitement vous laisser tenter de passer plus de temps sur d’autres sites internet, au lieu de vous connecter à la plateforme du cours. Il se peut aussi que vous soyez tenté de repousser l’emploi du temps à tout moment. Pendant les examens, certains étudiants profitent de la situation pour tricher. On peut alors dire que le manque d’autodiscipline et de rigueur peut avoir un impact sur votre apprentissage.

Le problème de l’isolement

Les cours en ligne vous offriront certainement beaucoup de flexibilité. Par contre, vous pouvez aussi vous retrouver isolé au quotidien. Une situation qui peut devenir frustrante au fil du temps, surtout si vous êtes inscrit à une longue formation. Il peut être difficile de supporter le fait de se retrouver seul, même si vous recevez souvent des mails ou des messages sur les réseaux sociaux. Il y aura en effet des moments où vous souhaitez avoir des contacts directs avec les autres étudiants.

L’utilisation des outils informatique

Il peut être difficile de suivre des cours en ligne si vous avez du mal à vous en sortir avec les outils informatiques. N’oubliez pas que ce domaine est en constante évolution. Vous devez alors vous adapter avec les nouvelles options qui seront proposées sur la plateforme que vous utilisez. Mis à part cela, il faut faire attention aux effets de l’écran d’ordinateur. Le fait d’y passer beaucoup de temps au quotidien peut être fatigant pour les yeux.

L’enseignement par tranche d’âge

Éduquer quelqu’un c’est lui donner sa vraie valeur, lui enseigner les bonnes manières, l’intégrer dans la société et bien sûr, lui révéler les choses à venir dans la vie. Toute chose à son temps dit un adage. L’éducation commence dès le petit âge : un enfant de moins de 7 ans suit l’éducation qui lui est adaptée. Quand on parle d’éducation, elle est toujours suivie d’une petite correction. De ce fait, lorsqu’un enfant commet une bêtise à cet âge, il est impératif de le gronder en fonction de l’intensité des dégâts commis. Tandis qu’un enfant entre 10 et 17 ans, allant passer à l’âge de puberté exige une éducation stricte et plus approfondie. À partir de l’âge adulte, la vie aide chaque personne à tirer des conclusions selon les problèmes qu’elle rencontre. Elle éduque les grands à avancer et à surmonter les difficultés avec plus de maturité.

Comment faire passer un message éducatif ?

L’éducation peut nuire à la vie future et à la personnalité de chaque personne si l’on n’arrive pas à canaliser l’éducation adaptée à la personne concernée. Si l’on rencontre un problème en dehors de la capacité de l’éducateur, l’aide d’un spécialiste est très sollicitée. Particulièrement pour les adolescents, le fait de se faire rectifier par ses proches est pour lui un calcaire. Pour eux, les conseils des autres paraissent plus importants comparé à ceux de sa propre famille. Leur éducation demande plus de patience, de persévérance, d’attention et de beaucoup d’amour. Même étant adulte, l’éducation est toujours présente pour corriger les erreurs faites. Les fréquentations et les échanges passent mieux en termes d’apprentissage. Pour conclure, l’éducation joue un rôle très important que ce soit pour l’âme, l’esprit ou aussi pour la vie quotidienne. Même la personnalité de chaque personne en dépend.

Les langues

L’étude des langues vivantes est en tête de liste des classements des formations les plus demandés. Les connaissances en autres langues sont très utiles dans le monde de la restauration, de l’hôtellerie et le tourisme. Suite à ces formations, vous devez recevoir des certificats tels que le DCL (ou le diplôme de compétence en langue) ou le TOEIC (ou le Test Of English for International Communication).

L’informatique

Puis viennent ensuite les formations en informatique. Les compétences en informatique sont très sollicitées dans le monde des nouveaux métiers qui se sont récemment développés. Presque tous les secteurs d’activités ont actuellement besoin de quelqu’un qui a suivi des formations en informatiques. Parmi les certificats fournis à l’issue des formations informatiques, la plus connue est le TOSA. Ce dernier est le standard international d’évaluation et de certification des compétences informatiques.

Les ressources humaines

Les formations en ressources humaines sont principalement destinées aux chefs d’entreprises aux managers et aux services des ressources humaines. Dans toutes les sociétés, qu’elle soit grande ou petite, il y a toujours au moins un de ces postes. Et il faut que les personnes qui occupent ces postes aient des connaissances sur les ressources humaines. Les formations en ressources humaines peuvent être des moyens d’apprendre comment améliorer les processus de recrutement. Mais aussi aidez dans le bon fonctionnement et le bien-être du travail.

Les finances, assurances et banques

Les secteurs financiers, de l’assurance et de la banque sont des secteurs d’activités qui sont en perpétuels mouvements. En plus d’être soumis à de diverses contraintes réglementaires. C’est pour cela que les travailleurs dans ces secteurs doivent continuellement suivre des formations tout au long de leur carrière.

Continuez vos études après le BTS

Il est dommage de ne pas poursuivre vos études après l’obtention d’un diplôme Bac+2. En fait, après le BTS de plus en plus de diplômés continuent leurs études. D’autant plus qu’il y a tellement de possibilités différentes vers des diplômes supérieurs. Vous pouvez, par exemple, rejoindre l’université pour avoir une licence. D’ailleurs, l’acquisition d’une licence professionnalisante explique cette tendance et est fortement recommandée pour une entrée réussie sur le marché du travail. La licence pro ne dure qu’un an et propose alors une spécialité. Elle constitue aussi une aide précieuse pour poursuivre vos études (ex : Master). De plus, dans la plupart des cas, les licences professionnelles sont basées sur la recherche.
Une licence générale, quant à elle, est également une option possible après le BTS. Si les admissions ne sont pas trop automatisées, c’est la formation idéale pour vous si vous envisagez de poursuivre un cursus universitaire au-delà de ce Bac+3.
D’autre part, vous pouvez aussi poursuivre vos études supérieures en intégrant une licence d’ingénieur ou une école de commerce. Par ailleurs, l’enseignement après le Bac+3 peut être assuré par des établissements privés comme les écoles de commerce. De plus, avoir un baccalauréat offre un excellent choix si vous recherchez un enseignement supérieur à vocation internationale.

Travailler immédiatement après le BTS

Il est tout à fait naturel que vous souhaitiez éventuellement travailler avec votre BTS en poche. Le parcours pour l’obtenir est d’ailleurs à court terme et permet une intégration rapide dans le monde du travail. Aussi, les diplômés en BTS peuvent effectuer un stage et avoir un aperçu complet du Bac+2. Vous pouvez également effectuer divers métiers manuels, ou travailler dans des domaines qui vous passionnent et qui ne nécessite pas de diplôme.
Cependant, il est important de noter qu’entrer dans la vie professionnelle avec un Bac + 3 ou mieux un Bac + 5 vous donne plus d’opportunités d’avoir un poste plus élevé dans une meilleure entreprise et d’avoir un salaire plus important. Il existe alors différents avantages à acquérir d’autre niveau d’apprentissage après le BTS.